Centre de rhumatologie et de balnéothérapie
Saint-Martin-d'Uriage, 38
2020
2020
Centre de rhumatologie et de balnéothérapie
Saint-Martin-d'Uriage, 38
Localisation
Saint-Martin-d'Uriage, 38
Maîtrise d’ouvrage
CH Rhumatologique d'Uriage
Bureaux d’études
Economiste, Structure et Fluides, C.SSI, OPC : ER2i
Acoustique : REZ'ON
C.SSI : ALTROS
Diag. Amiante : ALP'EXPERT
Mission
Base Loi MOP + EXE + DIAG + OPC
Surface
SP : 2 300 m² restructurés
Coût
4,42 M€ HT
Crédits
© Scotome
Le projet d’hôpital rhumatologique a été conçu par l’architecte Olivier Felix-Faure (de l'agence Groupe-6). Il s’agit d’un édifice des années 1970 et fortement inspiré de l’architecture de Le Corbusier en relation avec le couvent de la Tourette. La construction est un cube évidé par un patio central de 24mx27m. Proche du mouvement moderne, la réalisation en béton brut, sur pilotis, libère le sol pour des activités extérieures variées. Le bâtiment s’inscrit dans son environnement en conservant la transparence depuis le parc vers le bois. Le but étant de capter au maximum la lumière et l’ensoleillement vers tous les espaces de soins, et d’ouvrir les chambres sur les plus belles vues. Hors de la reconstruction des espaces intérieurs, le programme de rénovation et d’extension concerne la façade Nord, au la plus proche de l’espace boisé.
L’œuvre architecturale à fort caractère nous a inscrits dans une posture propre au XXe siècle, pendant lequel on a construit plus que durant tous les autres réunis. La réflexion sur la transformation du patrimoine vient dans le prolongement de l’intention initiale de construire un bâtiment adaptable et évolutif. Ici, comme à l’origine de la construction, l’environnement est le point essentiel et fondateur de l’inscription architecturale. Le bassin de balnéothérapie et la pharmacie, libérés de l’ensemble des locaux techniques, émergent par espalier le long des courbes de niveaux. L’extension prolonge l’existant comme un émergement en lien avec le paysage proche et lointain.
L’œuvre architecturale à fort caractère nous a inscrits dans une posture propre au XXe siècle, pendant lequel on a construit plus que durant tous les autres réunis. La réflexion sur la transformation du patrimoine vient dans le prolongement de l’intention initiale de construire un bâtiment adaptable et évolutif. Ici, comme à l’origine de la construction, l’environnement est le point essentiel et fondateur de l’inscription architecturale. Le bassin de balnéothérapie et la pharmacie, libérés de l’ensemble des locaux techniques, émergent par espalier le long des courbes de niveaux. L’extension prolonge l’existant comme un émergement en lien avec le paysage proche et lointain.